21 décembre 2011
Paradoxes
Mon papa qui occupe un poste plutôt haut placé et qui me faisait toujours gagner au jeu de "Mon papa c'est le plus fort!" lit des romans d'amour. Un paquet, même.
Ma soeur que je détestais quand je jouais avec, devenait compagne d'infortune quand maman nous disputait. Nous comparions la taille de la marque de sa main sur nos cuisses pour savoir laquelle de nous pouvait crier le plus fort.
Cet homme qui pose son flingue à côté du bonsaï qu'il fait pousser depuis 20 ans.
L'étudiant qui fait la fête jusqu'à en oublier son nom tous les soirs et qui fini son année avec une grande distinction.
Les paradoxes nous rendent la vie plus douce.
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