2 novembre 2012
Ecorce.
Le chien n'attend plus. La raclée est tombée.
Tout est propre.
J'ai voulu retirer les vis du mur, mais une des deux reste accrochée. La colonne vertébrale complètement dénudée, dépouillée de ce qu'elle portait, y pend lamentablement, telle un funeste vestige de ce que tu ne nous a pas laissé construire. Elle se balance encore, comme si elle hésitait concernant la direction à emprunter.
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